Par Véronique Ithurbide
Après « la Ménagerie de Versailles » et « Monsieur le Jardinier » ( JB de la Quintinie), le romancier et scénariste de bandes dessinées Frédéric Richaud publie un nouvel ouvrage : « Le Coiffeur de Marie-Antoinette et autres oubliés de l’Histoire ».
Invité depuis plusieurs années du salon « Histoire de Lire », Frédéric Richaud sera à nouveau présent cet automne pour rencontrer ses lecteurs lui qui se dit :
« Versaillais de coeur et d’esprit ».
« Versaillais de coeur et d’esprit ».
Ancien professeur de littérature passionné d’Histoire, l’écrivain publie un livre humoristique rempli d’anecdotes pour la plupart inconnues du grand public. L’ouvrage est constitué de soixante-quinze portraits d’hommes et de femmes ayant eu un rôle historique, soit en vivant dans l’ombre d’un personnage célèbre, soit en participant à un événement historique. Cette galerie de portraits, que l’on découvre comme un cabinet de curiosités, révèle « l’histoire à hauteur d’homme ».
Frédéric Richaud se décrit comme un
« chasseur d’histoires », il aime l’histoire dans l’histoire, vagabonder en prenant des chemins de traverse à la recherche de personnages presque oubliés de tous afin de les mettre en lumière. Ainsi Jean-François Autier, dit Léonard, le coiffeur de Marie-Antoinette à l’origine de ces coiffures monumentales et extravagantes dont la souveraine raffolait, a joué un rôle décisif et malheureux lors de la fuite royale à Varennes.
« chasseur d’histoires », il aime l’histoire dans l’histoire, vagabonder en prenant des chemins de traverse à la recherche de personnages presque oubliés de tous afin de les mettre en lumière. Ainsi Jean-François Autier, dit Léonard, le coiffeur de Marie-Antoinette à l’origine de ces coiffures monumentales et extravagantes dont la souveraine raffolait, a joué un rôle décisif et malheureux lors de la fuite royale à Varennes.
Plus légèrement, on découvre l’incroyable destinée de « Montauciel » le mouton préféré de Marie-Antoinette, de même que le rôle joué dans la vie intime de Louis XIII par Catherine-Henriette Bellier dite « Cateau la Borgnesse » première femme de chambre de la reine Anne d’ Autriche. Et pour terminer en ce qui concerne Versailles, nous découvrons que c’est à la cour d’assises qu’eut lieu « la dernière vente des biens mobiliers ayant appartenus à Landru » dont la fameuse cuisinière qui s’arracha à 4200 francs, une fortune à l’époque.
Toutes ces petites histoires se savourent sans modération.
Toutes ces petites histoires se savourent sans modération.